Faut pas chercher à soulever la moto en fait, mais plus à appuyer sur la béquille.
Je réessaierai demain
C'est exactement ça ce n'est pas une question de force mais de technique je fait 1.92m pour 105kg et j'avais beaucoup de mal a mettre celle de la 125 de mon bof alors que c'est bien plus léger que le B6 ou le B650.
Il faut ce servir de son poids pour appuyer sur la béquille en tirant la moto en arrière.
c'est un coup de main a prendre, il faut s’entraîner
Tu peux même t'aider en te servant de la "pompe" des suspensions pour faciliter encore plus le basculement vers l'arrière tout en appuyant sur la béquille centrale et en tirant la moto vers l'arrière.
Aller sous le soleil déclinant, vers les 17h30. Température parfaite... mais beaucoup de bruit de vent sous le casque passé 70km/h...
Retour sous les étoiles. Parti vers 22 heures. Incroyables différences de températures entre le haut des plateaux et les vallées ! C'est le genre de truc qu'on sent pas en BAR
Au bout d'une demi-heure, un peu froid... Bien m'en a pris, j'ai embarqué un pull en plus. J'ai aussi changé de gants (passé des "été" aux "mi saison")... et vive les poignées chauffantes, bien agréables !
Et j'ai aussi mis des boules Quies (celles en mousse), pour le bruit du vent... Quel bonheur de n'entendre qu'un mince filet de vent. J'allais devenir sourd à force.
Lors de ma pause du retour, au milieu d'un village paumé Picard, j'étais garé sur des "places réservées à la gendarmerie". Comme de par hasard, des Gendarmes en patrouille se sont arrêtés pour me demander si tout se passait bien, m'ont souhaité bonne route et sont repartis dans la nuit.
Pas un chat sur la route, seul au monde, sous les étoiles...
Aller sous le soleil déclinant, vers les 17h30. Température parfaite... mais beaucoup de bruit de vent sous le casque passé 70km/h...
Retour sous les étoiles. Parti vers 22 heures. Incroyables différences de températures entre le haut des plateaux et les vallées ! C'est le genre de truc qu'on sent pas en BAR
Au bout d'une demi-heure, un peu froid... Bien m'en a pris, j'ai embarqué un pull en plus. J'ai aussi changé de gants (passé des "été" aux "mi saison")... et vive les poignées chauffantes, bien agréables !
Et j'ai aussi mis des boules Quies (celles en mousse), pour le bruit du vent... Quel bonheur de n'entendre qu'un mince filet de vent. J'allais devenir sourd à force.
Lors de ma pause du retour, au milieu d'un village paumé Picard, j'étais garé sur des "places réservées à la gendarmerie". Comme de par hasard, des Gendarmes en patrouille se sont arrêtés pour me demander si tout se passait bien, m'ont souhaité bonne route et sont repartis dans la nuit.
Pas un chat sur la route, seul au monde, sous les étoiles...
Vraiment, quel bonheur !
Un village pommé Picard, c'est un gnomisme, Un village Picard pommé, c'est un pléonasme ...